Début 2015, Isabelle Cambourakis créait, au sein de la maison éponyme, une collection intitulée Sorcières. En faisant ressortir de l’oubli des textes américains des années 70, elle envisageait cette activité éditoriale comme un prolongement de son propre investissement. Comme un bilan de cette première année éditoriale, elle retrace avec nous cette aventure entre militantisme et édition et nous offre déjà de beaux titres qui recentrent les questionnements sur la place du corps des femmes.
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