Maisy Odjick, 16 ans, vivait avec sa grand-mère à Kitigan Zibi, une réserve algonquine au nord d’Ottawa. Son amie Shannon Alexander, 17 ans, habitait Maniwaki. Le 6 septembre 2008, elles sont sorties, laissant derrière leurs portefeuilles, leurs trousses à maquillage, tous leurs vêtements. On ne les a jamais revues.Cette tragédie s’est ajoutée à celles des 1181 femmes autochtones canadiennes assassinées ou disparues depuis 1980. Une tragédie. Et un scandale qui s’étire depuis 35 ans dans l’indifférence quasi générale. Lire la suite par ici: Sœurs volées – Châtelaine.
Un morceau de bonheur arraché à l’enfer – Making-of
À lire, sur le blog de Liliana Samuel, journaliste à l’AFP en Argentine, le récit des retrouvailles entre la présidente des Grands-mères de la Place de Mai Estella de Carlotto et son petit-fils Guido, volé à ses parents par leurs bourreaux militaires sous la dictature et qui a découvert sa véritable identité 36 ans plus tard. « Ils [les militaires] ne se sont rien approprié », dit Guido Montoya Carlotto, « ils n’ont fait que suspendre la vérité un certain temps. » Pour lire l’article, cliquer ici : Un morceau de bonheur arraché à l’enfer – Making-of.